QUE JE VOUS SOUHAITE
A TOUTES ET A TOUS
Indiquez dans cette partie vos coordonnées GPS ou le nom de votre localité |
En cette fin d'année 2007,
je souhaite à toutes et à tous
DE JOYEUSES FETES
JOYEUX Noël
TRES BONNE ANNEE 2008
Que 2008 vous apporte
SANTE,
BONHEUR
JOIE
et
REUSSITE.
Le Parc naturel régional de la Guyane n’est pas un organisme de recherche mais doit -être plutôt considéré comme un utilisateur et un vulgarisateur de la Recherche. À ce titre, il soutient les initiatives de recherches qui sont menées sur son territoire ou qui sont en relation avec ses principales missions.
Le PNRG est un territoire d’expérimentation, et à ce titre développe tout type de projets, ou sites pilotes susceptibles d’améliorer le bien-être de ses habitants.
Pour tout savoir :A deux heures de Lyon,le Parc Livradois-Forez frôle Clermont-Ferrand, Vichy, Le Puy-en-Velay, Saint-Étienne et englobe Thiers, la capitale de la coutellerie, Ambert et sa célèbre fourme, La Chaise-Dieu et son abbaye. Carte de localisation cliquez ici.
Il s’ouvre sur l’infini des paysages et la nature préservée des Hautes-Chaumes, des tourbières, des forêts de sapins et de hêtres.
Territoire d’exception, le Parc est avant tout un territoire de projet : développement durable, tourisme, agriculture respectueuse de l’environnement, éducation à l’environnement et aux patrimoines, conservation des milieux naturels, sauvegarde du patrimoine bâti, accès aux pratiques culturelles, valorisation des ressources et des savoir-faire...
Pour tout savoir :
http://www.parc-livradois-forez.org/index.php4
Tél : 04 90 54 24 10
10-12, avenue Notre Dame du ChâteauLe Parc Naturel Régional des Alpilles est un territoire qui se fixe des objectifs pour 12 ans . Ces objectifs sont inscrits dans sa Charte.
- Plus de 50 000 Ha au total
- 16 communes du triangle d’or, cerné par la Durance et le Rhône : Lamanon, Eyguières, Aureille, St Martin de Crau, Mouries, Maussane les alpilles, Paradou, Fontvieille, Les Baux de Provence, St Etienne du Grès, Tarascon, Mas blanc des alpilles, St Rémy de Provence, Eygalières, Orgon, Sénas.
Pour tout savoir :
http://www.parcs-naturels-regionaux.tm.fr/fr/decouvrir/parcs.asp?op=parcs-
Faire de ce territoire d’exception un territoire d’exemplarité : tel est l’objectif fixé par le Conseil Régional soutenu par les acteurs des Alpilles .Le parc d'Armorique est le 2e parc naturel régional a être créé en France en 1969.
Pour tout savoir :
www.pnr-armorique.frcontact@parc-naturel-avesnois.fr
www.parc-naturel-avesnois.frL'Avesnois, c'est avant tout la nature, préservée et verdoyante, qui mêle prairies bocagères et vastes forêts. Avec ses paysages aux couleurs multiples, dispersés en camaïeu de verts et ses cours d'eau limpides, la "petite Suisse du Nord" vous ouvre ses portes...
Partez à la rencontre du bocage et empruntez nos circuits de randonnées, à pied, à cheval ou en VTT. Nos nombreux sentiers thématiques vous emmèneront à la découverte du patrimoine naturel et culturel du Parc. Tous ces itinéraires sont téléchargeables sur notre site.
Paysage de prairies entourées de haies, le bocage fait partie de l'identité du territoire. A l'origine de la vocation herbagère et laitière de l'Avesnois, il est préservé pour ses ressources en produits laitiers, viande bovine et produits du verger. Maroilles, pommes, "Bleue du Nord"... Le Parc regorge de goûts multiples et variés !
Le territoire fourmille également de richesses architecturales : près de 700 oratoires, ou "bornes-chapelles", pointant leur flèche vers le ciel, se rencontrent ainsi à la croisée des chemins. Ils sont construits en pierre bleue et érigés en mémoire d'un disparu ou en évocation d'un pèlerinage. Remparts de Vauban ou site archéologique témoignent également des richesses de son passé. La tradition festive de l'Avesnois se lit, elle, à travers les kiosques qui jalonnent le territoire. Ronds, rectangulaires, à musique ou même à danser, une quarantaine d'entre eux trônent au centre des villes et villages. Terre d'artisanat, le Parc compte enfin de nombreux musées et constructions illustrant ses activités ancestrales. L'écomusée de Fourmies Trélon, les moulins de Grand Fayt et de Sars Poteries, le musée du marbre à Bellignies, le musée de la faïence et de la poterie à Ferrière la petite... Tous s'attachent à rendre compte des savoir-faire des artisans locaux.
Pour tout savoir :
www.parc-naturel-avesnois.frLe territoire du Parc s’étend sur près de la moitié sud du massif vosgien et s’organise autour d’une crête sommitale « la grande crête » orientée nord-sud et ponctuée de sommets arrondis « les ballons ».
Il englobe des espaces diversifiés : les Hautes Vosges et leurs versants boisés, les vallées vosgiennes, haut-rhinoises et comtoises, le plateau des Mille-Etangs, le pays sous-vosgien et le piémont viticole alsacien.
Pour tout savoir :
http://www.parc-ballons-vosges.fr/
La charte du Parc définit 4 objectifs :Partez à la découverte d’une nature préservée, authentique et sauvage….
La Brenne, magique et mystérieuse, est une mosaïque d'étangs, de landes et de buttons. D’apparence si naturel, ce paysage est pourtant l’œuvre des hommes qui l’ont modelé depuis le Moyen-âge. Aujourd’hui, avec plus de 2000 étangs (traditionnellement utilisés pour la pisciculture), la Brenne est l’une des plus importantes zones humides continentales françaises reconnue au niveau international pour la richesse de sa faune et de sa flore. Observatoires, sorties accompagnées et sentiers de randonnée attendent les amoureux d’une nature extraordinairement riche et vivante.
Les rivières de l'Anglin et de la Creuse, traversent un paysage de bocages, vallonné et boisé. Elles forment des vallées, parfois encaissées, bordées de coteaux calcaires et ponctuées de falaises. C'est le paradis de la pêche, du canoë, de l'escalade ou du VTT.
Pour tout savoir :
Territoire riche par nature…
Situés à deux pas de la Baule et des marais salants de Guérande, et à seulement quelques kilomètres de Nantes, les marais de Brière, classés Parc naturel régional depuis 1970, nous ont été transmis grâce au travail de générations de briérons qui y puisaient leurs moyens d’existence et de survie par le tourbage, le pacage, la coupe du chaume, la pêche, la chasse. Cette vaste étendue est aujourd’hui recensée parmi les plus riches d’Europe sur le plan biologique pour ses oiseaux d’eau et ses plantes aquatiques.
La chaumière, avec sa fourrure de roseaux, est aussi un élément essentiel du paysage briéron. Avec ses 3000 toits de chaume, la Brière est ainsi la région de France où la densité de chaumières est la plus importante.
…et dont le patrimoine est menacé
Ce territoire aux richesses naturelles et culturelles exceptionnelles est aujourd’hui menacé et soumis à de fortes pressions : les projets du parc naturel régional de Brière pour les années à venir visent à soigner le cadre de vie, préserver et restaurer les richesses biologiques et faire vivre la Brière.
Pour tout savoir : www.parc-naturel-briere.frLa Camargue, delta du Rhône, est formé d’alluvions. Unique delta français de cette ampleur, la Camargue se distingue en Europe par la richesse biologique de ses écosystèmes. Située dans l’axe de migration des oiseaux du nord de l’Europe qui empruntent le sillon rhodanien vers l’Afrique, à travers les Alpes et le massif central, elle forme un relais vital pour les oiseaux.
Comme tous les deltas, celui du Rhône a une forme schématique de triangle dont les pointes sont Arles, Le Grau-du-Roi et Fos/mer (150 000 ha). Il ne comprend plus aujourd’hui que deux bras actifs, le grand et le petit Rhône, entre lesquels se situe l’île de Camargue ou grande Camargue qui correspond au territoire du Parc naturel régional de Camargue. Cette « île » est enserrée entre la mer Méditerranée et les deux bras du Rhône. Les avancées ou les reculs du rivage autant que les divagations des bras du Rhône ont longtemps conféré au delta une grande instabilité.
La Camargue est le résultat d'un combat incessant entre le fleuve, la mer et l'homme.
Pendant des siècles, les éléments disputèrent aux hommes des terrains péniblement protégés par ceux-ci pour contenir les inondations ou les remontées d'eau salée. Le delta du Rhône demeura variable jusqu'au milieu du 19e siècle. La création des digues du Rhône puis de la digue à la mer isolèrent artificiellement la Camargue, mais la privèrent en même temps des approvisionnements réguliers en eaux douces et limons fournis par le fleuve. Pour maintenir un milieu naturel exceptionnellement riche et une agriculture nécessaire à la vie des populations locales, l'homme dut intervenir à nouveau en installant des stations de pompage pour prélever l'eau du Rhône et en creusant un réseau dense de canaux à travers le delta.
Pour tout savoir :
www.parc-camargue.frcontact@pnr-seine-normande.com
www.pnr-seine-normande.comLe Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande est situé entre Rouen et Le Havre, dans l’Eure et la Seine-Maritime. Ce territoire façonné par la Seine offre au regard des visions étonnantes sur les panoramas et les prairies humides. Plateaux, vallées, coteaux creusés par le fleuve composent les paysages des cinq régions naturelles du Parc : la vallée de la Seine, le Pays de Caux, le Roumois, la Basse Vallée de la Risle et le Marais Vernier.
Trois abbayes, des musées ruraux, châteaux et chaumières forgent l’identité du patrimoine culturel du Parc. Les zones humides, fleurons écologiques du Parc, plongent dans des ambiances ouatées ponctuées par les arbres têtards.
Certains sites naturels se visitent dans le Marais Vernier et la Basse Vallée de la Risle, seuls ou avec un guide. Des actions spécifiques de suivi et de sensibilisation sont menées sur ces milieux d’importance capitale pour le parc.
La route des chaumières, au départ de la Maison du parc, sillonne entre Seine et forêt les villages du parc et fait comprendre la richesse du patrimoine bâti local et des savoir-faire locaux. Le Parc s’attache à valoriser les matériaux et artisanats liés à cet habitat.
La route des fruits , au départ de la Maison du Parc, serpente entre Seine et vergers le long des barrières devant lesquelles les producteurs de fruits proposent leurs produits au fil des saisons : fraises, framboises, cerises, prunes, pommes… Le Parc s’attache à conserver les fruits, notamment la pomme, en plantant des vergers conservatoires.
Pour tout savoir : http://www.pnr-seine-normande.com/fr/index.php
Au levant, à l'Aube, à l'Orient, aux marges du Bassin Parisien et au sud de la Champagne, s'étend une vaste contrée mystérieuse où l'eau, la terre et la forêt ont donné naissance à un territoire singulier, fruit de la nature et des hommes.
Le Parc naturel régional de la Forêt d'Orient n'est ni réserve animalière, ni musée à ciel ouvert ou sanctuaire botanique, mais un espace de vie, ouvert à tous, où préservation de l'environnement rime avec développement du territoire.
Ce territoire légendaire abrite d'immenses lacs-réservoirs nichés au creux de forêts profondes, qui feront le bonheur des amoureux de nature, culture, sports et loisirs...
« Jusqu'au Moyen Âge, l'antique forêt du Der s'étendait des rives de la Seine jusqu'à celles de la Marne, plus au nord. Au XIIIe siècle, les chevaliers de l'ordre du Temple et de celui des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem s'installent dans ce massif, le défrichent et y développent une économie fondée sur l'agriculture, la pisciculture, la sylviculture et l'exploitation minière (tuileries, forges). De cette époque subsistent une multitude d'étangs, ainsi que la toponymie : Forêt du Temple, Forêt d'Orient...
Situé au point de rencontre de régions naturelles contrastées, le Parc naturel régional de la Forêt d'Orient rassemble une mosaïque de paysages. Le secteur central du parc occupe une partie de la Champagne humide, caractérisée par des terrains très faiblement vallonnés et chargés en eau. Au nord-ouest apparaît une côte, qui constitue le contact avec la Champagne crayeuse. Au sud-est s'amorce la côte des Bars, composée d'un plateau profondément entaillé par des vallées. Enfin, la grande plaine alluviale de l'Aube forme la limite nord du parc. Pays secret, le parc livre avec parcimonie les spécificités de son territoire où se mêlent étroitement l'eau et la forêt.
Pour tout savoir :
www.pnr-foret-orient.frinfo@parc-gatinais-francais.fr
www.parc-gatinais-francais.frSitué au sud-est de l’Ile-de-France, ce « pays des mille clairières et du grès » est, depuis le 4 mai 1999 classé « Parc naturel régional », grâce à la volonté des Communes concernées, des Conseils généraux de l’Essonne et de la Seine-et-Marne, du Conseil régional d’Ile-de-France, de l’Etat
et des acteurs locaux.
Autour d’un projet de territoire, les acteurs du Parc ont pour mission de conjuguer préservation des patrimoines naturel et culturel, développement économique et social et maintien de la qualité de vie. Un équilibre incontournable qui ne peut être maintenu que par une démarche inscrite dans le développement durable.
57 communes et 7 communes associées constituent le Parc naturel régional du Gâtinais français. C’est un territoire riche et varié, propice à la découverte d’activités « nature » mais aussi culturelles, touristiques et économiques. Grâce aux prestataires touristiques présents, rien de plus facile pour organiser un séjour : hébergements ruraux, hôtels, restaurants, mais aussi jardins, châteaux et musées, parfois mêmes insolites...
Le Parc naturel régional du Gâtinais français bénéficie d’un environnement qui lui est propre, ses sols, son climat et sa situation géographique ont permis à des cultures typiques de s’y développer. Nombreux sont les producteurs passionnés par leur métier et qui n’attendent que de faire découvrir leurs produits du terroir...
Pour tout savoir :
www.parc-gatinais-francais.frLe Parc naturel régional de Corse, territoire classé pour la première fois en 1972, et à nouveau classé pour 10 ans en juin 1999, recouvre aujourd'hui près de 40% de la superficie de l'île avec une superficie de 350 510 hectares pour environ 26700 habitants. Il associe la Collectivité Territoriale de Corse, les Conseils Généraux de Corse du Sud et de Haute Corse, les 4 Communautés de Communes et les 143 communes de son territoire.
Le Parc, au patrimoine naturel et culturel riche et menacé, fait l'objet d'un projet concerté de développement fondé sur la préservation et la valorisation du patrimoine mené par tous les partenaires.
Le projet pour le territoire a pour vocation de protéger et valoriser le patrimoine naturel, culturel et humain de son territoire en mettant en œuvre une politique innovante d'aménagement et de développement économique, social et culturel respectueux de l'environnement. Un axe primordial de ses activités vise à assurer pour l'intérieur, actuellement en difficulté, un développement nouveau en lui redonnant toute sa place comme territoire de vie sociale et économique au sein de l'île.
La présence de ses équipes sur le territoire, éco-développeurs locaux et techniciens, a permis et permet d'engager et d'accompagner diverses actions ou réalisations : efforts en direction de l'élevage de montagne par la restauration de bergeries, opérations programmées d'amélioration de l'habitat, restauration et valorisation du patrimoine bâti, recueil des savoirs et savoir-faire populaires, archéologie, artisanat mais aussi prévention des incendies.
Une des actions les plus visibles au profit des villages de l'intérieur est le développement des activités de randonnée : près de 1500 Km de sentiers balisés, plus de 1400 lits ont été réalisés en gîtes d'étapes ou en refuge sur le parcours des sentiers entre mer et montagne "Mare e Monti", d'une mer à l'autre "Mare a Mare", d'altitude "le GR20" ou des sentiers de pays. Une des missions essentielles du Parc est d'assurer cette préservation et cette valorisation, de façon intégrée, pour garantir au territoire sa biodiversité et sa qualité, gages d'un développement durable.
Un grand nombre d'espèces ou de formations végétales rares sont présentes sur le territoire, dont une forte proportion d'endémiques. Certaines de ces formations particulièrement fragiles, comme les "pozzine", font l'objet d'une attention particulière.
La faune, également riche, comprend plusieurs espèces menacées ou en danger de disparition ( le mouflon, le balbuzard pêcheur, le gypaète barbu…). Le Parc s'emploie activement à assurer leur protection : il anime un projet de réintroduction d'une espèce disparue le cerf de Corse et a mené à terme le projet européen "LIFE GYPAETE"et gère un « LIFE NATURE MOUFLON ».
Le Parc participe aussi à la protection de sites sensibles (les lacs d'altitude), à la sauvegarde de l'architecture traditionnelle (bergeries, moulins, maisons anciennes…), à la mise en valeur d'édifices et du petit patrimoine bâti, à la préservation des fresques des chapelles romanes et des vestiges archéologiques (Pianu di Livia).
Information et sensibilisation
Depuis 1972, le Parc appuie son action de sensibilisation sur ses animateurs et sur les infrastructures qu'il a mises en place : A Casa di a Natura à Vizzavona, A Casa Marina à Galeria, centres permanents d'initiation à l'Environnement destinés à tout groupe constitué, ils offrent des séjours nature à caractère pédagogique.
Deux autres sites complètent l'accueil : le "Village des Tortues" à Moltifau destiné au repeuplement et à la réintroduction de la tortue d'Hermann en milieu naturel et la Maison d'Information du Paesolu d'Aïtone à Evisa où des expositions sur la faune et la flore sont proposées.
Les Caps et Marais d’Opale sont nés en mars 2000 du regroupement des Parcs du Boulonnais et de l’Audomarois et de l’adhésion de nouvelles communes, créant un ensemble adapté aux problématiques d’aménagement du territoire. Avec la Région Nord – Pas-de-Calais, le Département du Pas-de-Calais - principaux financeurs du Parc – et les 152 communes adhérentes, six intercommunalités et cinq organismes consulaires se sont mobilisés sur un projet de développement économique et social, fondé sur la protection et la mise en valeur du patrimoine culturel, naturel et paysager. Expérimentation, partenariat, sensibilisation, éco-citoyenneté et développement durable en sont les maîtres mots.
Le Parc naturel régional s’est construit autour de trois espaces de grande qualité. Le littoral de la Côte d’Opale est riche de ses paysages et de ses milieux naturels : site des caps Gris-Nez et Blanc-Nez, dunes, estuaires, baies sablonneuses, estrans rocheux… Le bocage du Boulonnais, du pays de Licques et des vallées artésiennes compose un ensemble vallonné et verdoyant où l’élevage (cf le cheval boulonnais) occupe encore une place prépondérante. Le marais audomarois – dernier marais cultivé de France – constitue un espace naturel remarquable, prisé des touristes.
La diversité des substrats géologiques et des conditions climatiques, la présence d’un littoral ont produit une juxtaposition et une imbrication de milieux naturels favorables à une production biologique intense. Le territoire abrite l’essentiel des habitats et des espèces rencontrés dans le Nord – Pas-de-Calais.
Pour tout savoir :
www.parc-opale.frCréé en 1995, le Parc naturel régional de Chartreuse étend ses 69000 hectares sur l’Isère et la Savoie, entre Chambéry, Grenoble et Voiron. Massif préalpin calcaire, il culmine à 2082 mètres d’altitude (Chamechaude). La Chartreuse centrale (Haute Chartreuse) se caractérise par une montagne au relief abrupt et tapissé de profondes forêts. Elle est le terrain de prédilection des chevreuils, sangliers, cerfs, mouflons et chamois.
Les « Hauts de Chartreuse », classés en Réserve Naturelle d’Etat, sont le berceau d’une mosaïque de paysages où alternent alpages ouverts, forêts d’altitude et longues falaises. Ils abritent, sur plus de 4 450 hectares, une flore et une faune particulièrement riche en espèces. La Moyenne Chartreuse et les piémonts présentent des paysages plus ouverts. Ils regroupent une grande partie des ressources démographiques, agricoles, artisanales et industrielles.
Des zones humides à forte valeur biologique et écologiques ponctuent le paysage. Leur inventaire a permis de mettre en gestion quelques sites pour maintenir en bon état de conservation ces entités naturelles remarquables. La présence presque millénaire des Pères Chartreux a empreint
la Chartreuse de marques profondes, comme en témoignent de nombreux édifices mais aussi certains secteurs d’activité comme la métallurgie.
Parallèlement se sont aussi développés au fil du temps de nombreux savoir-faire d’artistes, artisans et producteurs, savoir-faire représentés à travers le réseau de la « Route des Savoir-Faire et des Sites Culturels ». Soucieux de développer la pratique de la randonnée, le Parc a balisé plus de 1100 kilomètres de sentiers ; répondant à une large demande, depuis la balade familiale à la Grande randonnée.
La Chartreuse est particulièrement adaptée à la pratique de nombreuses activités de découverte : randonnée à skis ou à raquettes, mais aussi ski de fond ou alpin, spéléologie, vol libre, escalade, cyclotourisme, VTT…De nombreuses manifestations rythment l’année et vous invitent à venir vivre la Chartreuse au fil des saisons. Des « Relais du Parc », dans les offices de tourisme, constituent les lieux privilégiés d’information du public sur le Parc.
contact@parc-causses-du-quercy.org
www.parc-causses-du-quercy.orgLes Causses du Quercy, territoire particulièrement intime et fragile, méritaient largement de devenir Parc naturel régional. C'est-à-dire un territoire exceptionnel, homogène, voué à la préservation de ses richesses et à leur mise en valeur.
Situé au nord-est de la région Midi-Pyrénées dans le département du Lot, il se compose de 97 Communes pour 176 000 ha et s'étend, entre Figeac et Cahors, et de la rive sud de la Dordogne aux contreforts du bassin garonnais.
Terre de contrastes, les Causses du Quercy sont une savante composition entre les pechs(1) et les combes, les plateaux et les entailles profondes des vallées du Lot et du Célé, les lapiaz, les dolines, les pertes et résurgences, les grottes et gouffres, les rivières souterraines, les pelouses sèches, les murets de pierre sèche...
Des peintures rupestres (nombreuses grottes ornées) aux rondes cazelles(2), l'homme a marqué ce territoire.
Il a apprivoisé la pierre et l'eau, rare en surface, et a su préserver les richesses naturelles. Ce territoire recèle ainsi un patrimoine architectural remarquable et des savoir-faire qui méritent d'être préservés et valorisés.
Bien que renfermant les sites prestigieux de Rocamadour, de Saint-Cirq-Lapopie, du gouffre de Padirac, des grottes de Pech Merle et de Lacave, cet espace profondément rural était menacé de désertification ayant pour corollaire une fermeture des paysages.
Pour tout savoir :
www.parc-causses-du-quercy.orgCréé en 1995, le Parc naturel régional des Grands Causses, situé au sud de l’Aveyron, regroupe 96 communes (soit 64 000 habitants).
Avec ses voisins, le Parc national des Cévennes et le Parc naturel régional des Monts d’Ardèche (à l'est) et le Parc naturel régional du Haut-Languedoc (au sud), le Parc naturel régional des Grands Causses contribue à l'organisation de l'un des plus grands espaces naturels d'Europe, au sud du Massif Central.
Par ses paysages ouverts aux limites de l’imagination, le Parc naturel régional des Grands Causses laisse parler la nature. La richesse de son patrimoine architectural et paysager est le reflet d’une mosaïque de terroir :
• Les Causses (dont le célèbre Larzac), vastes plateaux calcaires entrecoupés de profondes gorges (Tarn, Dourbie, Jonte), où se pratiquent tous les sports de pleine nature. Pour relier ces causses inaccessibles, il a fallu une prouesse technique, le Viaduc de Millau,
• Les Avant-Causses, « puech » tabulaires traversés de vallées ouvertes, habitées et accueillantes où se fabrique, entre autre, le célèbre Roquefort,
• Les Rougiers, collines aux couleurs chatoyantes, rouge du sol de grès, doré des Stipes Pennées et vert des pâtures où règnent les brebis,
• Les Monts, couverts de denses forêts propices aux randonnées ombragées, délimitent les pourtours du Parc.
Grâce aux influences climatiques méditerranéennes, continentales et montagnardes, le Parc naturel régional des Grands Causses présente une flore exceptionnellement diverse, par exemple, la grassette des causses, l’euphorbe de Duval, l’ophrys de l’Aveyron, ...
Si au sol, la nature grouille de vie, c’est dans les airs que sont les plus impressionnants représentants des Grands Causses : les vautours fauves et les vautours moines.
Au long des chemins de traverses, on découvre un riche patrimoine vernaculaire ou spectaculaire, châteaux perchés ou nichés, citées templières et hospitalières, caves semi-troglodytiques, statues menhirs, …et toujours des paysages grandioses.
Les habitants de ce territoire l’ont façonné depuis 5 000 ans et sont toujours prêts à vous en raconter les secrets dans les multiples structures d’accueil qu’ils ont aménagées avec respect.
Soucieux de mettre en valeur chacun des terroirs qui le compose, le Parc soutient des lieux d’accueil qui permettent une découverte approfondie :
• à Millau, la « Maison » du Parc naturel régional des Grands Causses,
• à Campagnac (A75), l’espace naturel d’arrêt des Grands Causses,
• à Compeyre, la Maison de la vigne et de la haute vallée du Tarn,
• à Paulhe, la Maison de la cerise,
• à Saint-Jean-du-Bruel, Noria, l’Espace de l’eau,
• à Saint-Affrique, Pastoralia, le monde de la Brebis,
• à Saint-Jean-d’Alcas, la Grange aux Marnes
• à Saint Sernin, la maison des Vallons du Rance
• à Buzeins, la maison des dolmens
• à Saint Rome de Tarn, la maison de la truffe
Pour un moment pédagogique en pleine nature, le CPIE propose, avec le Parc, un programme de randonnées estivales accompagnées.
Les sentiers de découverte et les tables d’orientation
Situés dans des milieux remarquables, équipés de panneaux pédagogiques, ils permettent de découvrir les secrets de la vie des Grands Causses : plantes, oiseaux, paysages, patrimoine local, histoire, géologie. D’année en année, leur nombre s’accroît :
• circuit de visite du village médiéval de Compeyre,
• sentier botanique et observatoire de la faune à La Couvertoirade,
• sentier botanique et circuit de visite de Saint-Léons,
• sentier de l’espace naturel d’arrêt des Grands Causses à Campagnac,
• circuits de visite et sentiers de découverte à Ayssènes, Carbassas, Combret-sur-Rance, Compeyre, Brousse-le-Château, Le Truel, Le Viala-du-Tarn, Montaigut, Peyre, Roquefort, Saint-Jean-du-Bruel, Saint-Rome-de-Tarn, La Couvertoirade
• GR 71C dit « Templier Hospitalier »
• GR 71D dit « Le Tour du Larzac »
Des tables d’orientation permettent, aussi, de lire le paysage :
- à la Pouncho D’Agast, à Millau,
- au Mont Seigne, à Saint-Laurent-du-Lévezou,
- au Puech de Buzeins, à Buzeins,
- au rocher de la Vierge, à Roquecezière,
- au rocher Saint-Pierre, à Roquefort,
- dans le village de Castelnau-Pégayrols,
- au « château vieux », à Montjaux,
- sur les ruines du château de Gozon, (Les Costes Gozon),
- au château de Séverac-le-Château,
- au château d’eau, à Montclar,
- sur la butte de Luzençon, à Saint-Georges-de-Luzençon,
- à la chapelle Saint-Etienne, au Viala-du-Tarn
- à Peyralbe, route de Ségonzac à Saint affrique
Pour tout savoir :
En réponse au respect de chartes de qualité,info@parc-landes-de-gascogne.fr
www.parc-landes-de-gascogne.frLes Landes de Gascogne sont classées en Parc naturel régional depuis 1970.
Aux portes de Bordeaux, un patrimoine riche mais néanmoins fragile compose les 4 paysages majeurs, traversés par la rivière Leyre : La pinède présente une diversité des sous–bois où perdure l’ancienne lande, localement parsemée de chênes tauzins, dominée par la molinie et la fougère aigle dans les parties humides, ou encore la bruyère cendrée dans la lande sèche. Les variantes paysagères découlent aussi de l’exploitation de cette forêt cultivée de pins maritimes. On y trouve les lagunes, plans d’eau temporaires ou permanents de formes arrondies. La vallée de la Leyre constitue un milieu particulier entre ombre et lumière où l’eau, de couleur rouille, coule sous une voûte de feuillages constitués d’aulnes, de chênes et de saules. Cette forêt galerie est peuplée d’insectes, d’oiseaux et de mammifères tels que libellules, martin pêcheur héron et ragondin que l’on peut rencontrer lors d‘une randonnée en canoë. Dans ces milieux exceptionnels subsistent la loutre, le vison d’Europe et la cistude.
Sur le territoire du Parc, l’habitat traditionnel révèle une histoire. Des quartiers épars ont survécu à la plantation de la forêt. Là, sur l’airial, sont disséminés de grands chênes, de petites dépendances et des maisons à ossature de bois, avec toiture à longs pans, façades à l’est et quelquefois auvents. L’écomusée de Marquèze est, pour le public, le grand témoin de cette occupation plus intense de l’ancienne lande. Enfin, les eaux douces de la rivière rencontrent les eaux salées du bassin d’Arcachon. Là, les terres marines du delta de Leyre offrent un grand puzzle de milieux naturels qui se découvre à chaque marée en de multiples pièces imbriquées, où s’étendent d’immenses étendues de roseaux ou de baccharis, accueillantes pour les oiseaux.
Pour tout savoir :
www.parc-landes-de-gascogne.fraccueil@parc-haut-languedoc.fr
www.parc-haut-languedoc.frVéritable balcon ouvert sur les plaines viticoles du Languedoc et les vastes étendues céréalières du Lauragais, le Parc naturel régional du Haut-Languedoc s’appuie sur les derniers contreforts méridionaux du Massif Central. Il est situé à 1 h 30 de route des grandes villes que sont Toulouse, Montpellier ou Perpignan.
Ce territoire de moyenne montagne célèbre la rencontre des deux midis. Assis sur la ligne de partage des eaux entre l’Atlantique et la Méditerranée, soumis aux deux influences climatiques qui ont façonné son identité, il offre un extraordinaire diversité biologique et paysagère : massif granitiquedu Sidobre, Montagne Noire, Monts de Lacaune et de l'Orb, plateau des lacs, Caroux et Espinouse, vallées du Jaur, de l’Orb, de la Mare, de l’Agout et du Thorè, forêts, garrigues du Minervois, vignobles généreux,…
Le Haut-Languedoc a été habité très tôt par l’Homme des cavernes. La civilisation Saintponienne, datée de la fin du Néolhitique, a laissé de nombreuses et remarquables statues menhirs. Plus tard, il a successivement accueilli les Cathares traqués par l'inquisition, les Huguenots persécutés après la Révocation de l'Edit de Nantes, puis les Maquisards qui, bien à l'abri dans ces contrées sauvages, organisaient la résistance contre l'occupant.
pour tout savoir :
www.parc-haut-languedoc.frA cheval sur les Régions de Franche-Comté et de Rhône-Alpes, au cœur du Massif du Jura, entre les rives de l’Ain et du Rhône, le Parc naturel régional du Haut-Jura s’étend sur plus de 164 065 hectares, rassemblant 113 communes et 71 000 habitants.
C’est un espace montagnard, entaillé par la vallée de la Bienne, qui abrite les villes industrieuses de Saint-Claude et de Morez, et par la vallée de la Valserine qui débouche sur Bellegarde.
Le territoire du Parc culmine à 1717 mètres au Crêt de la Neige, sur la réserve naturelle de la Haute-Chaîne du Jura, d’où l’on surplombe le Pays de Gex et Genève, avec un magnifique panorama sur les Alpes notamment depuis le Col de la Faucille.
Le Parc est entouré de 5 villes-portes: Divonne-les-Bains, Gex, Bellegarde-sur-Valserine, Oyonnax et Champagnole.
Le Parc présente tout l’étagement de la végétation, depuis les forêts alluviales d’aulnes, de saules et de frênes de la basse vallée de la Bienne, jusqu’aux stations de pins à crochets du Crêt de la Neige. Si le substrat calcaire très fissuré éprouve quelques difficultés à conserver l’eau en surface, les vallées n’en sont pas moins animées de belles rivières telles la Bienne et l’Orbe, la Valserine ou le Doubs.
Le fond des vals souvent rendu étanche par une couche de marne, abrite des lacs de montagne (Lac de l’Abbaye, Lac de Lamoura, Lac d’Etival) et un chapelet de petites tourbières. La forêt d’épicéas, dominante, cultivée à la manière douce selon le principe de la futaie jardinée, est aussi le refuge du chevreuil, du sanglier, du blaireau ou de la martre, mais aussi du lynx, bien présent, quoique fort discret. Les massifs élevés abritent le merle à plastron, le pic noir, mais aussi le Grand Tétras ou la Chouette de Tengmalm.
Le Haut-Jura se distingue par la douceur de ses plateaux, qui dégage un sentiment d’apaisement. Ses paysages de combes, qui marient les pâturages et les forêts d’épicéa, sont propices à la randonnée, sous toutes ses formes :
- La randonnée pédestre avec le GR9, mais également avec deux Tours de Pays, qui permettent de découvrir le Parc sur une semaine,
- la randonnée équestre avec le Grand Huit,
- la randonnée cyclo avec des combinaisons d’itinéraires multiples.
L’hiver, le Haut-Jura est considéré comme un paradis pour les skieurs de fond. Il offre également des possibilités de balade en raquettes sur des itinéraires aménagés. Les amateurs de ski alpin peuvent eux aussi assouvir leur passion sur les pentes de la Station des Rousses, sur les sites de Mijoux-la Faucille, Crozet, Lélex ou encore à Menthières. L’itinéraire des Grandes Traverses en Jura ( GTJ) permet quant à lui de découvrir les paysages de la région en toutes saisons.
Des aménagements facilitent la découverte de milieux naturels insolites comme les Tourbières de Prénovel, les Gorges de l’Abîme et la Cluse du Flumen autour de Saint-Claude ou les sentiers parcourant le Plateau du Lizon, les roches d’Orvaz et de la Fauconnière.
Pour tout savoir :
www.parc-haut-jura.fraccueil.pnr.chevreuse@wanadoo.fr
www.parc-naturel-chevreuse.frL'antique forêt d'Yveline est le berceau de la vallée de Chevreuse. Peuplée dès la préhistoire, elle s'organise ensuite autour de ses trois voies romaines. Les premiers rois la confient en partie à des abbayes parisiennes, d'où une implantation chrétienne marquée. Au cœur du Moyen Âge, les donjons des grands féodaux se soumettent aux Capétiens. Les guerres de Religion succèdent aux ravages de la guerre de Cent Ans.
Les seigneuries sont alors rachetées par de riches propriétaires et des officiers royaux. Sous Louis XIV, Port-Royal devient un centre de renouveau spirituel, tandis que les environs de Versailles se couvrent de châteaux. Ni les conflits ni le progrès n'ont dénaturé ces paysages à l'abri de l'industrialisation. Seules des activités artisanales - tanneries, carrières de grés, maraîchage pour la capitale exploiteront les ressources locales sans transformer le caractère rural des bourgs. Les liens artistiques, intellectuels se renforcent avec l'arrivée de chemin de fer au XIXe siècle. La vallée devient une destination de villégiature qui s'enrichit encore de belles demeures édifiées par la grande bourgeoisie citadine.
Le territoire est aujourd'hui doté d'un remarquable patrimoine historique, architectural et naturel. Eglise, abbaye, château, manoir, forêt de chasses, parcs et jardins offrent une diversité de sites à découvrir. La campagne et les bois dominent toujours autour des villages et présentent des paysages contrastés : les vallées encaissées dessinées par les rivières alternent avec les plateaux cultivés et les coteaux boisés. La fragilité de ce Parc aux richesses convoitées tient à sa petitesse et à sa situation au cœur de la région parisienne. Il s'agit de le préserver en assurant une urbanisation et un développement équilibrés, respectueux de l'environnement et des hommes.
pour tout savoir :
www.parc-naturel-chevreuse.frPour tout savoir :
martine.baudin@pnr-lorraine.com
Tél : 03 83 81 67 67Le Parc s’étend sur 11% de la surface lorraine. Il est scindé en deux secteurs de part et d’autre de l’axe Nancy-Metz : la zone Ouest s’étend de la vallée de la Meuse à la vallée de la Moselle, elle est limitée par Verdun et Metz au nord et par Toul au sud ; la zone Est s’étend de Château-Salins à Fénétrange et Sarrebourg.
Pour permettre à l’homme de mieux connaître et de respecter le territoire dans lequel il vit, le Parc propose plusieurs formations et ateliers à destination du grand public qui invitent à la découverte de savoir-faire et à l’interprétation des patrimoines naturels, culturels et économiques. Pour cela, il a développé un large réseau de partenaires qui conjointement oeuvrent pour une éducation adaptée au territoire. Ensemble ils proposent d’accueillir à la journée ou en séjour les scolaires et jeunes (hors temps scolaire) de toute la Lorraine sur des thématiques diverses et variées :
Histoire du sel, de la pierre
Savoir-faire artisanaux
Eco citoyenneté
Les vergers Lorrains
Les énergies renouvelables
L’architecture
Les milieux naturels originaux …
Soutenir la création et la diffusion culturelle, faciliter les échanges avec d’autres territoires, sensibiliser et faciliter l’accès au patrimoine et aux spectacles vivants à toutes les catégories de publics, faire de la culture le lien social qui unit et donne une identité au territoire sont les ambitions du Parc de Lorraine.
Portée par des acteurs locaux, une saison culturelle est mise en place annuellement. Des festivals ou événements de renommée régionale donnent le tempo à une programmation dynamique, à l’image du territoire.
Pour tout savoir :
www.pnr-lorraine.componts.douve@parc-cotentin-bessin.fr
A la charnière des départements de la Manche et du Calvados, au « Seuil du Cotentin », le Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin est constitué de 27 000 ha de marais et de polders qui s’insèrent dans un paysage de bocages traditionnels (90 000 ha). Prairies pâturées ou fauchées, quadrillées de fossés et parsemées de tourbières, caractérisent cette zone humide qui s’ouvre sur la Baie des Veys. Avec les crues hivernales le marais devient « blanc », il donne alors tout son sens à la presqu’île du Cotentin.
De plus faible superficie, les landes, les bois et forêts ainsi que les milieux littoraux viennent diversifier les unités paysagères du territoire.
Poussez les portes des châteaux et des abbayes, des manoirs et des clochers fortifiés, parcourez, de stèles en musées, l’Espace de la Bataille de Normandie… Dans l’ombre de ces monuments, un patrimoine plus humble ponctue également nos paysages préservés : fermes en terre et ports des marais, moulins et lavoirs, fontaines et oratoires, colombiers et fours à chaux témoignent, au fil de chemins souvent immémoriaux, de la richesse et de l’importance de droits et d’usages révolus.
Equipés de panneaux ou de bornes d’interprétation, d’observatoires ou de belvédères, une trentaine de sites et sentiers de découverte agrémentent les nombreux circuits locaux. Signalés à partir des routes proches et présentés dans nos publications touristiques, ces « lieux phares » sont à découvrir au gré de grandes ou de petites randonnées (2500 km de chemins balisés) ou au cours d’excursions en bateau ou à vélo (plus de 300 km de vélo-routes et de voies vertes).
Pour tout savoir :
www.parc-cotentin-bessin.frinfo@parc-loire-anjou-touraine.fr
www.parc-loire-anjou-touraine.frPour tout savoir :
www.parc-loire-anjou-touraine.fr
Ces communautés villageoises ont hérité des défrichements pionniers des ordres religieux qui ont façonné le visage des Bauges : les bénédictins dont il ne demeure qu'un souvenir vivace à Bellevaux ; les chartreux à Aillon-le-Jeune dont on a entrepris de restaurer le couvent (future maison d’interprétation du patrimoine du massif des Bauges); les cisterciens à Tamié dont l'abbaye abrite toujours une communauté active et accueillante. Les villages ont entretenu une agriculture dense, intensive, conquérant les champs dans la vallée et exploitant les alpages en montagne.
Pour tout savoir :
www.parcdesbauges.comDepuis 1976, le Parc naturel régional de la Martinique exprime la créolité naturelle d’une île des Caraïbes, fascinante de diversité. Baignées à l’est par l’océan Atlantique et à l’ouest par la mer des Antilles, les côtes endossent des parures variées : anses de sable blanc, plages de sable noir, baies marécageuses et falaises rocheuses. Du sommet de la montagne Pelée (1 397 m) aux plaines méridionales, le relief de l’île, la diversité de ses influences climatiques et la fertilité de ses sols volcaniques créent un patchwork végétal surprenant de contrastes.
Protèger et valoriser la nature des paysages martiniquais :
Telle est la mission essentielle du Parc de la Martinique. Cette mission s’adresse d’abord aux espaces naturels protégés dont, la Réserve naturelle de la Caravelle - dans le Nord du Parc, sur la commune de Trinité - ou la Réserve ornithologique des îlets de Sainte Anne, dans le sud du Parc. Mais, le Parc, c’est également des sites naturels aménagés tels que le Domaine de Tivoli où est implantée la Maison du Parc (Fort de France) ou encore le Domaine d’Estripault où se trouve la Maison de la Nature (Morne Rouge).
C’est par sa charte que le Parc de la Martinique s’engage à contribuer à :
- Maîtriser l’évolution du territoire,
- Protéger le patrimoine naturel et les paysages,
- Sauvegarder et promouvoir le patrimoine culturel martiniquais,
- Valoriser le patrimoine naturel et culturel au service d’un développement durable à la Martinique,
- Développer l’accueil, l’information et l’éducation du public.
Pour tout savoir :
www.sasi.fr/Pnrmavecmillevaches@avecmillevaches.com
Le PNR de Millevaches en Limousin est un territoire de moyenne altitude situé sur le flanc ouest du Massif-Central. La diversité de sa faune et de sa flore se loge dans de vastes paysages de landes, de forêt, de tourbières et de villages de granite.
C’est un château d’eau où naissent de nombreuses rivières comme la Vienne, la Vézère, la Creuse, la Corrèze… L'agriculture rythme la vie du Plateau, les éleveurs sont encore nombreux. Les vaches et les brebis limousines peuplent les pâturages. Les générations d’habitants ont assuré l’évolution du territoire tout en protégeant sa simplicité.
En approuvant la Charte du Parc, les communes, les trois Conseils généraux et le Conseil régional ont décidé d’entreprendre de fortes actions de protection et de valorisation de ce patrimoine naturel exceptionnel, à l’échelle d’un espace territorial dans lequel ils s’emploient à promouvoir les activités humaines et l’accueil de nouveaux actifs. Elus locaux, acteurs socio-économiques et associatifs agissent ensemble sous la coordination du Syndicat mixte de gestion pour installer la nouvelle dynamique de développement offerte par la création du PNR.
Pour tout savoir :
www.pnr-millevaches.fr/Tél : 04 75 94 35 20
La Prade BP3
Montpezat sous Bauzon
07560
Des territoires
Le Parc s’étend sur 190.000 hectares, à l’extrême sud-ouest de la région Rhône-Alpes, sur un seul département, l’Ardèche. Il recouvre, du nord au sud, toute la bordure orientale du Massif Central, c’est-à-dire les zones de pentes, sur un linéaire de 85 kilomètres environ à vol d’oiseaux. Six entités naturelles composent le Parc naturel régional :
Présentent des villages et hameaux groupés, des landes sur des sommets arrondis (les serres), des terrasses et châtaigneraies sur les pentes cultivées. La vallée de l’Eyrieux alterne gorges minérales et méandres jardinés, moulinages et activités industrielles de pointe.
Offre des plages de forêts alternant avec des prairies et vergers de châtaigniers. Des collines arrondies modèlent le plateau. Les ruisseaux s’enfoncent dans des talwegs boisés. Les villages étendus en sommet de butte dominent avec leurs clochers pointus.
Est composé de vastes espaces ouverts ponctués d’événements volcaniques. Les plateaux de landes et de prairies propices à l’élevage bovin sont dominés par le massif du Mézenc, et le célèbre Mont Gerbier de jonc. Les villages sont blottis à l’abri des buttes rocheuses.
Se distingue par des vallées profondes, des crêtes de granite aiguës, de nombreuses rivières et la présence marquée du volcanisme. Les hameaux sont dispersés, sauf dans les fonds de vallées comme celle de l’Ardèche, où l’industrie et l’habitat se sont développés le long des axes de communication.